Histoires de services d’urgence

«Pouvoir porter secours ensemble est un vrai sentiment de bonheur.»

Nous ne savons jamais si la prochaine intervention nous conduira auprès d’un alpiniste qui a chuté en haute montagne ou s’il s’agira d’effectuer un transport spécial de soins intensifs d’un hôpital régional vers un centre hospitalier.

Andrea, 42 ans – médecin urgentiste à la Rega

«Très alcoolisé, l’homme a dit qu’il allait faire exploser une bombe dans le train.»

Dans une telle situation, il est clair qu’il ne s’agit pas seulement de répondre à un appel. Souvent, dans le cadre de notre travail à la centrale de traitement des appels d’urgence, nous sommes amenés à gérer des situations de vie ou de mort, ou devons réussir à maîtriser un danger à temps.

Markus, 55 ans – chef d’équipe à la centrale de traitement des appels d’urgence

«Peu spectaculaire et pourtant nous avons pu aider.»

En Suisse, la majorité des sapeurs-pompiers effectuent un service volontaire. Ils se tiennent prêts à intervenir dans leurs communes et dans leurs villes, et ceci 24 heures sur 24, tout au long de l’année.

Emelie, 27 ans – sapeur-pompier

«Depuis cet événement, je connais ma vocation.»

Avec nos organisations partenaires, nous offrons plus de sécurité, nous transmettons des valeurs dans la société et nous recherchons toujours le dialogue. C’est ce qui motive de nombreux policiers à poursuivre cette profession avec passion.

Loris, 29 ans – Policier

«Pour nous, cet engagement était une évidence!»

Manoli, 36 ans – membre de la protection civile

«J’ai fondu en larmes et ma petite amie est venue me chercher sur le site de l’intervention.»

Michi, 33 ans – membre de la protection civile

«Ensuite, tu lis le message d’alarme et tu espères que ce n’est pas vrai.»

Les secouristes sont souvent confrontés à la mort.
Pourquoi ne perdent-ils donc pas courage et continuent-ils de faire leur travail avec tout leur cœur?

Madlaina, 24 ans – Stagiaire paramédical